Après deux déceptions, j’avais besoin d’une valeur sûre.
Ce Woman Murder Club est un peu ma série doudou. C’est facile, comme lorsqu’on enfile une tenue chemise/jean/baskets: pas besoin de réfléchir, ça fonctionne, c’est sans risque.
Je prends toujours autant de plaisir à retrouver les héroïnes, qui sont flic, médecin légiste et avocat (de la défense, of course!). L’histoire mélange procès retentissant et intrigue policière, avec, dans ce cas précis, deux intrigues menées de front. Il mélange aussi allègrement vie privée et vie professionnelle (on ne tombe jamais dans la romance, mais… c’est parfois pas très loin).
Une bonne série pour filles, je ne m’en lasse pas (mais vous noterez que je ne me rue pas sur les épisodes pour tout lire d’un coup – je préfère éviter l’overdose!).
Si vous êtes tentés, allez jeter un œil sur le début de la série… et la 4e de couverture de ce tome-ci:
L’enquête sur la disparition du fils de l’ancien gouverneur de Californie, atteint d’une malformation cardiaque, fait peser une énorme pression sur les épaules du sergent Lindsay Boxer. Egalement chargée de trouver les responsables de la vague d’incendie sur les villas de San Francisco, le sergent demande du renfort auprès du Women’s murder club.
352 pages, Ed. Le Livre de Poche, 2011. Trad. N. Thiberville
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