C’est le premier épisode des enquêtes écrites par Elizabeth George, avec des personnages récurrents comme Barbara Havers et l’inspecteur Lynley.
Je les ai retrouvé avec plaisir, mais j’ai tout de même été happée par ce brouillard… un peu de longueurs et beaucoup de personnages différents, tout ça m’a un peu perdue.
Mais finalement, le dénouement est plutôt malin donc on referme quand même le livre avec une impression d’inachevé et on passe un peu sur le reste. Mais je pense que certains peuvent avoir envie d’abandonner en chemin…
Un livre lisible, mais qui ne me laissera sûrement pas un souvenir impérissable. Je persisterai avec Elizabeth George, parce que je me suis attachée a ses héros, tous aussi saugrenus les uns que les autres!
Pour le résumé de ce bouquin, je vais, par faignantise (encore!) partager le mot de l’éditeur:
Le sergent Barbara Havers, 30 ans, ne s’embarrasse ni de coquetterie ni de diplomatie. Et ce n’est pas l’inspecteur Thomas Lynley, pur produit de l’aristocratie britannique à la réputation de don Juan, qui la fera changer. Une seule chose peut lui faire oublier son aversion pour cet ancien d’Eton : un crible à élucider. Justement, dans un paisible village du Yorkshire, on retrouve le corps sans tête de Williams Teys, paroissien modèle. A côté du cadavre, sa propre fille. » C’est moi qui ai fait ça et je ne le regrette pas « , gémit-elle avant de sombrer dans le nautisme. Ce silence lourd de secrets résistera-t-il au duo le plus explosif de Scotland Yard ?
445 pages, Ed. Pocket, 2010. Trad. D. Wattwiller
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