Les sentinelles de l’ombre, T1, Le souffle de la lune – J. Arden

les_sentinelles_de_l_ombre-le_souffle_de_la_lune-j_ardenBon, je continue sur mes lectures de vacances (j’ai encore du stock). Il en faut toujours un, le bouquin déception du lot.

Le décor est posé! 

Pas besoin de tourner autour du pot; des séries dans le genre il y en a plein (j’en ai d’ailleurs aimé plein), mais celle là, je pense que je vais m’arrêter à ce premier tome, que j’ai même peiné à finir!

Difficile de savoir pourquoi cette histoire là ne m’a pas plu quand j’en ai lu tellement d’autres! Mais là, héroïne trop … enquiquinante? Pleurnicharde? L’auteur est allé nous coller des dieux Égyptiens au milieu des vampires? On comprend rien, le lien se fait hyper tard, je crois que tout est un peu trop mélangé, trop confus, de style trop étrange… un patchwork d’éléments qui n’ont pas été à mon goût.

Trop vieille pour ce genre d’histoire? bye bye les vampires, retour au polar? Si demain je me lance dans une autobiographie, je SAURAIS: un cap aura été passé, une grande je serai.

Pour en revenir à nos vampires dépressifs et égyptiens, les notes sont globalement bonnes (même si je ne suis pas la seule à ne pas avoir été conquise), la série compte plusieurs tomes et elle a ses fans. Me concernant, heureusement que l’éditeur a mis la version électronique à un prix sympa! Je suppose que ce premier tome pose les bases de l’histoire, et que les choses s’accélèrent ensuite… ? si ça se trouve, je passe à côté de la série du moment, mais je passe mon tour!

Allez, la 4e de couverture:

Tout allait bien dans ma vie jusqu’à ce que je me transforme en loup devant une assemblée de vampires. Encore qu’il s’agit là d’un euphémisme, du genre capable de vous étouffer en moins de deux. Car s’il est de notoriété publique que les crocs et les poils ne font pas bon ménage, c’est encore pire quand vous êtes la fille de la reine du clan vampirique le plus rigide qui soit. Et je parle d’expérience… Bref. Munie d’un aller simple pour la meute paternelle, me voici partie pour San Francisco, à la découverte d’un monde où vampires et loups se côtoient. Appelons plutôt ça de la cohabitation forcée. Personne n’est prêt à voir sa vie chamboulée, et quand l’amour et des dieux censés avoir disparu s’en mêlent, laisser la bête me dévorer de l’intérieur devient de plus en plus tentant…

Je file de ce pas lire une autobiographie. Ou pas. Je vais tenter la cure de jouvence grâce aux livres avec des vampires dedans. Pour l’efficacité, je vous débriefe d’ici quelques années.

500 pages, Rebelle Editions, 2013. Trad. MS Veyres

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