Le pays du nuage blanc – Sarah Lark

Le pays du nuage blanc - Sarah LarkJe vous ai abandonnés, Chers Lecteurs, pour cause de vacances. Déjà pas très assidue avant de partir, la perspective d’avoir les doigts de pied en éventail a eu raison de mes derniers sursauts de volonté…

Du coup, j’ai plein d’articles à faire, et je devrais vous fournir quelques belles idées de lecture rapidement.

Premier de la série, LE livre qu’il fallait emporter dans ses bagages (même s’il est volumineux, 800 pages…): la saga familiale de l’été, dont tout le monde parle – que j’ai découverte très tard – et qui nous fait voyager à une autre époque mais surtout au bout du monde, en Nouvelle Zélande. 

On suit le destin de deux Anglaises, différentes mais que le destin va réunir, qui partent pour une nouvelle vie dans un pays en plein essor… Il y a des histoires d’amour, de désamour, des passions, des enfants, des histoires avec des indigènes, des trahisons, des coups du sort et de belles réussites… On se fait vraiment happer par l’histoire, on s’attache aux personnages, et on est content de savoir qu’il y a en fait une suite (ouf, on va les retrouver!!) puisque c’est une trilogie.

Bref, ce livre m’a été conseillé à plusieurs reprises, et je remercie tous ces gentils lecteurs; ils ont eu raison! Un joli voyage, parfois quelques longueurs, mais avec 800 pages, c’est presque normal… Et je précise, au passage, que ce n’est pas un voyage facile, pas une simple histoire d’amour fleur bleue … Bref, c’est chouette, et je vais guetter la suite en version livre d’occasion (voire en numérique, parce que c’est quand même un pavé!).

Chouette moment de lecture, un livre de vacances par excellence mais qui peut aussi permettre de voyager alors que l’on est coincé dans le métro, pour s’évader un peu!

(je souligne le tout mignon petit kiwi glissé sur le R de Sarah Lark sur la couverture, j’ai d’abord pensé à une tache, mais je trouve ça adorable! on sait pas bien ce qu’il fait là, mais c’est un clin d’œil amusant sur une couverture pourtant sérieuse!)

800 pages, Ed. Archipoche, 2014. Trad. J.M. Argelès

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